Prendre le bus pour aller à Tagaytay

A Quezon City, allez à la gare routière d’Araneta qui se trouve à Cubao. Elle est accessible par train depuis Manille, à 65 km, et les grandes villes des Philippines. De là, plusieurs lignes peuvent vous amener à Tagaytay. Essayez de trouver les pancartes qui indiquent Nagabus-Tagaytay. Vous devrez choisir entre les deux compagnies, dont San Augustin et Erjohn & Almark. Les bus partent toutes les 30 min, si la météo le permet, ou plus tôt s’ils sont pleins. Il faudra ensuite payer le chauffer avec la monnaie locale. Le trajet coûte normalement 2 euros ou 120 pesos. Pensez à contacter la compagnie en amont pour être fixé sur les prix. Tagaytay n’a pas de gare routière. Il est donc conseillé de descendre à Olivera Plaza. Vous devrez ensuite monter dans un taxi qui vous conduira partout dans la ville.

Louer une voiture avec chauffeur

Pour aller à Tagaytay, envisagez de louer une voiture dans plusieurs endroits de Manille. La plupart des voitures privées se trouvent devant l’aéroport. C’est le point de départ idéal pour rejoindre Tagaytay facilement. Vous pouvez louer un véhicule privé avec chauffeur, voire un minivan. Pour les taxis, leurs tarifs sont régulés et ils sont plus cher par rapport aux autres moyens de transport. Cela dit, il est préférable d’opter pour une voiture individuelle si vous voulez économiser. La location d’un minivan est de 30 euros avec chauffeur. Ce prix reste négociable. Vous pouvez acheter ces services pour une journée entière. La plupart des conducteurs demandent de payer l’essence, mais rassurez-vous, car cela ne dépassera pas les 1 000 pesos.

Que ne devez-vous jamais faire lors d’un vol ?

Il n’est jamais trop tard pour apprendre, aussi, voici quelques-unes de ces erreurs qui, désormais, ne seront plus les vôtres. La première erreur serait de rester assis à partir du décollage jusqu’à l’atterrissage. En quoi est-ce une erreur direz-vous ? Tout simplement parce la basse pression de l’air à bord ralentit la circulation de sang, surtout au niveau des jambes. Aussi, levez-vous de temps en temps, notamment pour les vols long courrier, étirez vos muscles et vos bras, dégourdissez vos jambes et vos pieds et vous ne courrez aucun risque de formation de caillot de sang quelque part.

Des erreurs bêtes parfois…

Il n’y a rien qui incommode le plus les autres que les odeurs que nous dégageons. Aussi, veillez à avoir une hygiène parfaite. Prenez une bonne douche avant le départ, portez des vêtements qui respirent, brossez-vous bien les dents pour éviter à vos voisins votre haleine fétide. Si vous oubliez ces simples règles du savoir-vivre et de l’hygiène, attendez-vous à des regards désapprobateurs et à des murmures contre vous durant le vol. Veillez également à vos vêtements avant de monter à bord, car si vous mettez des habits trop courts, trop décolletés, trop moulants ou trop transparents, le personnel navigant a le droit de vous refuser l’embarquement. Alors, pour vous éviter cette humiliation, et de rater votre vol, pensez à vous habiller décemment et modestement.

Attention à ce que vous prenez et buvez

Vous avez peur de prendre l’avion ? Vous devez faire face à un stress important et vous avez bu avant de monter à bord ? Ou pour vaincre votre phobie de la cabine, vous y buvez plus que de raison ? Sachez que tout abus de votre part peut entraîner une expulsion pure et simple avant le décollage. Et si vous vous mettez à boire pendant le voyage, ce sera au détriment de vos voisins et un mauvais point pour vous. Alors, alcool et surtout drogue, proscrivez autant que possible, avant et pendant le vol.

Qu’en est-il de votre bagage à main

On vous a sûrement permis de le prendre en cabine votre volumineux bagage à main, mais quelle galère une fois installé ! Vous aurez du mal à l’insérer quelque part et tout au long du voyage, ce bagage sera une source d’irritation, pas seulement pour vous, mais pour vos voisins aussi. Car là où vous allez le placer, c’est forcément de la place dont votre voisin aurait pu profiter…Là aussi, vous risquez d’être la source d’un inconfort pour les autres, ce qui ne rendra pas agréable votre voyage non plus.

De bonnes raisons de choisir la location de voiture pour visiter la Guadeloupe

Lors d’un voyage en Guadeloupe, l’idéal est de louer un véhicule qui assurera tous les types de déplacement, et ce, quelle que soit la distance. Bien que l’île soit relativement petite en taille, il n’est pas toujours aisé de s’y déplacer. De plus, le système de bus n’y est pas encore au point, d’où l’intérêt d’opter pour la location automobile. Cette option permettra aux voyageurs de visiter l’archipel selon leur propre rythme et de s’arrêter à tout moment. De cette manière, ils économiseront en carburant et profiteront d’un déplacement en toute sécurité. Selon leurs envies, ils ont la possibilité de louer un véhicule auprès d’une agence de location de voitures en Guadeloupe.

Quoi qu’il en soit, louer une auto permet de découvrir des sites qui ne sont pas desservis par les bus. Et il importe de noter que les liaisons entre Grande Terre et Basse Terre, peuvent devenir un véritable parcours du combattant. À bord du véhicule privé, le visiteur aura le temps d’admirer l’architecture au style néoclassique de l’Église de l’Immaculée-Conception de Grand-Bourg. Elle est située sur l’île de Marie Galante dans le département de la Guadeloupe. Le Parc des Mamelles mérite également un détour. Niché sur la colline de Bouillante, sur Basse-Terre, ce site tire son nom des 2 sommets surplombant le Parc National de la Guadeloupe. Pour terminer cette première journée, une excursion en catamaran vers la Réserve Cousteau est à prévoir. Cet environnement maritime protégé s’étend sur 1000 hectares de fonds sous-marins exceptionnels, comme : les poissons, les tortues, les coraux, etc…

Comment réserver rapidement le véhicule à louer ?

Avant de récupérer la voiture auprès de l’agence location, il faudra la réserver à l’avance. Il suffit de se rendre sur le site Internet du prestataire, et de procéder à la réservation en ligne en quelques clics. Ensuite, l’intéressé n’aura qu’à indiquer à l’agence où il souhaite prendre le véhicule. Il doit également indiquer la date et l’heure de son départ et de son retour afin d’obtenir une liste des véhicules disponibles. Si toutefois, il rencontre des difficultés lors de cette procédure en ligne, il peut toujours réserver par téléphone.

Pour ce faire, il n’aura qu’à téléphoner le service commercial qui lui expliquera en détail, toutes les formalités sur la location de voitures. Pour satisfaire les attentes de la clientèle et fidéliser les nouveaux clients, certains professionnels proposent une confirmation immédiate de la demande, un paiement sécurisé et rapide et enfin, une annulation de réservation gratuite. En cas de besoin, le client ne doit pas hésiter à poser des questions à l’interlocuteur dans le souci de profiter d’un service irréprochable et de tarifs dégressifs adaptés à son budget.

Ramener du vin ou du spiritueux en souvenir

On souhaite en prendre une bouteille de chaque au moins. Et c’est à un prix bien plus abordable que dans sa ville. Que l’on était en Toscane, à Rioja, ou plus près, à Bordeaux, on est heureux à l’idée de pouvoir encore s’en délecter une fois de retour à la maison. Mais voilà : on rentre par avion et on se demande s’il est possible d’en amener à bord ?

Y a-t-il des réglementations claires sur ce sujet ? Et si c’est autorisé, y a-t-il une limitation quant au nombre de bouteilles permis ?

Qui régit les réglementations sur le transport d’alcool à bord d’un avion

Tant de rumeurs ont circulé à propos des règles sur le transport de boissons alcoolisées à bord, notamment sur celles qui s’appliquent aux vols longs courrier.

La première chose à savoir, c’est que les réglementations sur la question sont régies par les organismes suivants : 1/ The Transportation Security Administration basée aux États-Unis ou la TSA, la Commission européenne et d’autres gouvernements nationaux, 2/ les Règlements des compagnies aériennes individuelles et 3/ les Lois d’importation fixées par chaque pays, par les États ou les provinces des pays.

Est-ce possible en bagage cabine ?

En règle générale, il est interdit de transporter du vin ou des alcools forts dans les bagages à main et les bagages en cabine. La raison en est qu’il n’est pas autorisé d’emporter plus de 100 ml de liquide dans son bagage cabine. Mais depuis janvier 2014, ceux à destination du Canada, des États-Unis et des pays d’Europe avec vol de correspondance ont le droit d’avoir dans leur bagage à main des liquides en quantité supérieure à 100 ml. Toutefois, il faut qu’ils aient été achetés dans les boutiques duty free et qu’ils soient convenablement placés dans des sacs conformes, sécurisés et inviolables. Pour les vols plus courts, il peut être possible de transporter de l’alcool dans son bagage cabine si l’achat s’est fait dans les boutiques hors taxes et ce, en-dehors des points de contrôle de sécurité.

Partez en voyage avec votre bébé !

Choisissez avec soin aussi votre destination, faites en sorte que la sécurité y soit optimale afin de ne pas exposer inutilement votre enfant. Prenez une trousse à pharmacie bien garnie où vous mettrez des bandages, des anti-diarrhéiques, un thermomètre, un format individuel de solution saline pour bébé, de l’acétaminophène, des lingettes désinfectantes et surtout son carnet de santé à jour. Dans vos valises, emmenez des vêtements chauds et couvrants, légers et une petite tuque mince pour garder votre bébé au chaud et l’aider à créer sa bulbe. Songez à emporter des jouets, des tétines, des attache-jouets et des attache-tétines.

Que savoir en rapport avec l’aéroport ?

Les passagers qui voyagent avec un bébé ont, en général, un accès prioritaire aux points prioritaires et de sécurité de tous les aéroports du monde. Aussi, vous n’aurez pas à attendre longtemps dans le hall de l’aéroport. Pour en bénéficier, il vous suffit de suivre la signalisation prévue et à cet effet, entre parenthèses, une image de poussette. Si vous ne voyez nulle part ce pictogramme, informez-vous auprès du personnel sur la file où devez-vous vous placer. Pour l’enregistrement, c’est pareil. Souvent, les voyageurs avec un bébé jouissent d’un enregistrement prioritaire. Si vous portez bébé dans un porte-bébé, il est possible que l’on vous demande de l’en retirer avant de passer au détecteur de métal. Sachez qu’il y a des salles d’allaitement, des tables à langer, des salles de bain et des lavabos destinés spécialement aux mamans avec bébé. Vous pouvez vous en servir gratuitement, ils sont là pour vous faciliter les choses à l’aéroport, dans l’attente de votre départ. Vous pouvez aussi avoir droit à un transport en voiturette électrique à partir du point de contrôle jusqu’à la porte d’embarquement.

Une fois à bord

La réglementation à bord des avions prévoit qu’un enfant de moins de 2 ans peut voyager sur les genoux d’un parent, mais certaines compagnies recommandent l’utilisation d’un siège auto approuvé. Lors du décollage et de l’atterrissage, sachez que votre bébé risque de souffrir de maux d’oreilles dus par le changement de pression à bord. Aussi, pendant ces moments-là, allaitez-le ou donnez-lui son biberon ou sa tétine. Et étant donné que les enfants sont plus sensibles au mal de transport que les grandes personnes, faites-le dormir si possible et évitez qu’il regarde par le hublot. Gardez à portée de main ses jouets préférés, en tout cas, ceux qui l’apaisent. Vous pouvez demander l’assistance du personnel à bord pour réchauffer le biberon de bébé par exemple. Et pendant tout le voyage, restez calme, cela calmera aussi votre bébé.

Il faut se renseigner sur les voyages avec animaux

Tout le monde, en particulier ceux qui transportent des animaux peuvent donc avoir accès à ces règles. Mais il faut avouer que peu de passagers prennent le temps et la peine de parcourir ce mode d’emploi. D’où l’incompréhension totale, et l’indignation, lorsqu’on est taxé d’amende pour n’avoir pas suivi ces règles. Ainsi, il est recommandé à quiconque prend les transports en commun avec son animal de compagnie de s’informer correctement pour être au courant de ce qui est autorisé ou non.

Quelques règles pour les petits chiens

Les règles concernant le voyage avec un animal ne sont pas affichées partout, même pas aux bornes d’achat des tickets. Ces règlementations sont à lire dans la rubrique « Cas d’acceptation des chiens sur le réseau » de la RATP sur son site Web officiel. Par exemple, il y est mentionné que les chiens de petite taille mais qui sont transportés dans des sacs ou paniers d’une dimension inférieure à 45 cm sont acceptés dans les bus, les funiculaires, les métros et les tramway. Et cela, à condition qu’ils ne dérangent les autres voyageurs de quelque manière que ce soit et qu’ils ne salissent pas les lieux.

Qu’en est-il des chiens plus grands ?

De moyenne ou de grande taille, les chiens doivent être tenus en laisse et muselés et ils ne sont acceptés que dans le RER et le métro. Et pour eux, il est obligatoire de payer un ticket. Toutefois, ils bénéficient d’un « billet tarif réduit ». Aussi, le ticket est seulement requis pour des chiens de moyenne et de grande taille, convenablement tenus, et non pour les petits chiens. Par ailleurs, en train, les règles changent. Pour un chien dont le poids est supérieur à 6 kg, il doit être muselé et il faudra lui payer le droit de passage. Ceci coûte 50% du prix du billet seconde classe si on voyage dans un TGV, un TER ou un Intercités. À moins de 6 kg, le billet coûte 7 euros mais le chien doit être placé dans un sac ou un panier de 45 cm x 30 cm x 25 cm.